Imagerie macroscopique à effet couronne au service de l’eau et de la santé Hugues de la BARDONNIE
L’imagerie macroscopique à effet couronne repose sur le principe de l’effet corona (effet couronne). L’effet couronne est une décharge électrique partielle provoquée par l’ionisation du milieu autour d’un conducteur lorsque le champ électrique dépasse une valeur critique. Cet effet est, en général, associé à une perte énergétique dans les applications traditionnelles. Dans notre application, il est provoqué juste aux conditions limites.
Le procédé IMEC, inventé par MM. Raymond Herren et Georges Vieilledent, permet de stimuler l’objet d’étude (corps humain, eau, liquides, végétaux…) pour en tirer de l’information à partir de la couronne lumineuse générée. L’appareil EDS (Electrophotonique Data Photon System) est une solution comprenant un générateur AEPG© (Advanced Electro Photonic Generator), une plaque électrode EFUSE© (Electrode For Use in Specifc Electrophotonic) et une caméra haute définition avec son optique. En appliquant un fort champ électrique (plusieurs kV) sur l’électrode, nous produisons un effet de couronne autour du corps en contact (doigt, liquides, végétaux…) qui est captée au travers d’un filtre UV. L’image est ensuite analysée par des outils de traitement d’images pour en extraire des informations intéressantes.
L’IMEC en santé
En l’état actuel des travaux de recherche, les développements les plus prometteurs concernent la santé avec un potentiel d’identification précoce des maladies. Une étude observationnelle a été réalisée sur la détection de la maladie de Lyme. Deux méthodes ont été utilisées pour le traitement des images et elles confirment le diagnostic en aveugle dans plus de 76 % des cas sur un panel de plus de 400 patients. Important : grâce à cette technologie, un traitement des effets indésirables de la maladie à partir d’ondes électromagnétiques de fréquences spécifiques a été mis au point, Vital Harmony.
Une seconde voix d’investigation concerne l’identification des faiblesses ou excès des organes et des systèmes nerveux et lymphatiques. À partir des captations des doigts. Elle permet d’observer des disfonctionnements et l’impact des substances ingérées comme les médicaments.
Les méthodes de détections des maladies ne sont pas spécifiques à la maladie de Lyme et nous proposons cette technologie aux laboratoires et chercheurs, qui souhaitent participer au développement de diagnostics rapides et non invasifs, de détection précoce de pathologies et de rechutes éventuelles.
L’IMEC pour les aliments
Un autre secteur d’étude est celui des gouttes de divers liquides (eau, vin, diverses solutions liquides…). Une étude a permis de mettre en évidence la possibilité de prévoir la possibilité pour un vin de bien vieillir et, a contrario, d’identifier des vins qui ne vieilliront pas bien. Pour les solutions visqueuses, notamment le miel, l’étude a permis de les classer selon une échelle de qualité. Une étude plus approfondie doit nous permettre d’identifier rapidement les mélanges de miel pur et de sirop de glucose.
L’IMEC pour l’eau
A partir de la théorie de la structure cohérente de l’eau liquide1 , nos études permettent d’identifier plusieurs paramètres qualité des eaux (Figure 2) et de les différencier selon ces paramètres.
Les ponts photoniques, IMEC et santé
Cette technologie d’imagerie capte une couronne plus étendue que les dispositifs similaires. Les images prises dans l’UV mettent en évidence un phénomène jusqu’ici inconnu : les ponts photoniques.
La réalisation d’une captation par imagerie macroscopique à effet couronne de plusieurs éléments (liquides, végétaux, micro-organismes, doigts humains…) distants de l’ordre de 5 millimètres fait apparaître, dans certains cas, un flux de photons, souvent très intense, entre deux éléments : les ponts photoniques.
Les pré-études et notre expérience nous amènent à faire l’hypothèse que ce phénomène pourrait caractériser l’affinité ou le manque d’affinité entre deux substances ou entre un organisme vivant (doigt, extrait de plante, feuille, micro-organisme…) et des substances inertes. Selon nous, la caractérisation des ponts photoniques est une voie vers la médecine personnalisée, en permettant le choix du médicament auquel le patient réagira le mieux.
Des tests concernant le diabète et l’hypertension artérielle présentent des résultats encourageants dans ce sens.
Les ponts photoniques, IMEC et environnement
Les plantes et leurs extraits réagissent grâce à cette technologie en créant des ponts photoniques. Une étude a été réalisée avec l’Institut Technique de l’Agriculture Biologique sur l’ambroisie, plante allergène pour déterminer les dilutions les plus efficientes pour limiter leur croissance. Les résultats ont été corroborés par des tests sur le terrain !
Pour conclure, nous espérons que cette nouvelle technologie facilitera le développement de médicaments plus compatibles biologiquement avec le vivant. Il en va de même avec les traitements phytosanitaires et nous souhaiterions sûrement tous participer à la limitation des dispersions de produits toxiques dans notre environnement.
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